Un poids lourd pour les auberges et autres maisons, qui prend étonnamment peu de place, mais qui offre beaucoup. La couronne à elle seule est le summum : un 36-nombre tournant dont les crochets sont fixés de manière extrêmement rationnelle sur l'anneau de la couronne et les supports obliques. Ce vestiaire est une légende - il suffit de demander aux restaurateurs qui s'estiment heureux de pouvoir encore aujourd'hui en compter un de ce type dans leur inventaire. Il est remarquable de voir ce que ce lourd solitaire peut supporter sans jamais chanceler sérieusement.
Il est fabriqué à Iserlohn, considéré à l'époque comme le Manchester allemand de la métallurgie, par l'entreprise Hermann Schwerter, l'une des dernières branches restantes de cette industrie - et aujourd'hui une entreprise unique en son genre avec sa propre production de vestiaires et de ferrures. Le vestiaire de l'auberge, dont la finition métallique est de toute façon exemplaire, a encore été amélioré à notre demande : la surface des crochets est polie par glissement et polie par billes. Pour ce faire, les crochets sont ébavurés et poncés dans un tambour avec des pierres céramiques comme abrasifs, puis polis avec brillance par de petites billes en acier inoxydable lors du polissage à billes qui suit.