Le "Moca" d'Olympia Express existe depuis 1967. Il vient d'être relancé, le moulin à expresso moud désormais par portions directement dans le porte-filtre de la machine à café, qui est maintenu sous la sortie de la mouture de café. Sur le côté du boîtier se trouve une molette qui permet de régler en continu le degré de mouture. Comme toujours, l'arôme du grain de café n'est pas altéré par un quelconque matériau synthétique. Des disques de broyage (Ø 6,4 cm) en acier spécial trempé tournent dans le moulin à disques silencieux, entraîné par un puissant moteur de 300 W. Le café est moulu à l'aide d'une meule en acier inoxydable.

Un coup d'œil sur les machines montre l'attitude avec laquelle les ingénieurs d'Olympia Express travaillent en Suisse : Perfection et obsession des matériaux jusque dans les moindres détails, au profit de la qualité de l'espresso et de la fiabilité, de la longévité et de la réparabilité des appareils. On y trouve une opulence à couper le souffle de matériaux vraiment solides : de l'acier inoxydable, du chrome et du laiton, le tout monté de manière compacte et emballé dans un boîtier massif, dans une enveloppe aux parois épaisses et équipé de robinets dignes d'une machine à café professionnelle.
La fabrication en petite série - pas plus de 1000 pièces par an - exige encore principalement du travail manuel. Les composants inutiles ou électroniques, susceptibles de tomber en panne ou d'être réparés, sont systématiquement supprimés, tout comme les changements annuels de modèle : cela se traduit par l'aspect visuel, mais aussi par la longévité des machines - elles valent toujours leur prix.